culture

façade théâtre Gennevilliers nuit enseigne lumineuse rouge

Entracte #3 | Marivaudage féministe et servitude volontaire

Je n’ai pas abandonné les salles obscures. Ces derniers mois, hormis l’excellent La plus précieuse des marchandises basé sur un conte – pas vraiment pour enfants – de Jean-Claude Grumberg, mis en scène et en images d’une manière unique par Michel Hazanavicius épaulé magnifiquement dans ses ambitions – il « voulait quelque chose de très graphique […]

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théâtre à l'italienne balcon et rideaux rouges

Entracte #2 | Tarentule norvégienne et angoisse hongroise

Le théâtre Gérard Philipe (TGP), bien ancré à Saint-Denis, dirigé par la talentueuse metteuse en scène Julie Deliquet depuis 2020, propage autour du lieu ses pépites du théâtre, du spectacle vivant. C’était déjà au TGP que j’avais découvert la metteuse en scène et beaucoup apprécié le spectacle de son Collectif In Vitro, Nous sommes seuls

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intérieur de théâtre à l'italienne noir et blanc

Entracte #1 | Logorrhée espagnole et tourment lituanien

Cette rentrée théâtrale parisienne nous balade en Europe, dans toutes ses richesses. L’Espagne et la Lituanie sont à l’honneur dans ce premier article consacré au spectacle vivant. Prochainement, un grand classique du théâtre norvégien, La Maison de poupée de Henrik Johan Ibsen, mis en scène par un duo italo-norvégien, et Parallax, avec un texte et

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crâne de la muerte devant bougie allumée_brian-wegman

Salles obscures #7 | Le Mexique fantasmé de carton-pâte

Le Mexique est à l’honneur en cette rentrée cinématographique.Hijo de sicario (Sujo) des cinéastes mexicaines Astrid Rondero et Fernanda Valadez, qui reprennent le thème de la violence masculine qu’elles avaient déjà traité dans Sin señas particulares, film multi-primé.Emilia Pérez, film musical de Jacques Audiard qui mélange les genres, drame et télénovela, dans une fiction qui

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Hall cinéma à travers des vitres dans une lumière rougeoyante

Salles obscures #5

Certains « réalisateurs-scénaristes » ont cette capacité à observer et à rendre compte des relations humaines, des interactions sociales, du monde qui nous entoure et qui peut déraper. Ils nous invitent à coller l’œil à l’objectif de leur caméra. Ryūsuke Hamaguchi, pour le Japon, Alejandro Rojas et Juan Sebastián Vásquez, pour le Venezuela et l’Espagne, en font

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une femme assise en position lotus sur siège bleu dans un décor de bois blonc

L’école comme le reflet de nos sociétés ?

Est-ce le hasard du calendrier des sorties de films mais, ces dernières semaines, plusieurs réalisations avaient choisi le cadre de l’école pour dénoncer l’effet de masse. On peut penser au premier abord que le champ scolaire est le sujet de ces films mais en observant d’un peu plus près, force est de constater que ces

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le personnage de Donya dans le film Fremont - noir et blanc

Salles obscures #3

Aujourd’hui, je vous propose de découvrir l’univers d’un cinéaste anglo-iranien, Babak Jalali, et d’une réalisatrice italienne, Alice Rohrwacher, pour leurs films respectifs « Fremont » et « La chimère ». Fremont Réalisation : Babak JalaliScénario : Carolina Cavalli, Babak JalaliMontage : Babak JalaliPhotographie : Laura ValladaoMusique : Mahmood SchrickerDécors : James Kreuzer, Cem SalurSon : Stefano GrossoGenre : indéterminé

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siège en lattes de bois adossé à un mur aux ombres de branches

L’éloge des ombres et de la simplicité

Cette semaine, un réalisateur à la longue carrière, Wim Wenders, dont la dernière fiction vient de sortir dans nos salles obscures. Il est des films qui ne rentrent pas dans la case modèle avec les fameuses règles qui amèneront au succès, ces règles qui ressemblent à des recettes de cuisine et qui aboutissent, au grand

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